C'est ce que je pense en lisant ce post. Curieusement.
Le poids de ce qu'on a à faire dans la vie, de tout ce qui nous pèse, et qu'on n'a pas forcément envie de faire.
Et la conséquence, enfin l'effet secondaire actuel, c'est le concept de lâcher-prise. Comment fait-on ?
Comment décide-t-on de lâcher prise, on décide juste, comme cela, et ça se met en place ?
Comment échapper aux influences parfois lourdes de son passé, de son entourage ?
mardi 26 octobre 2010
dimanche 11 juillet 2010
Evidemment, il y a les poncifs du genre : les bêtes, araignées métalliques et préhistoricomophiques à la Starship Troopers qui sont le fait d'un complexe militaro-scientifico-industriel pas très au fait du principe de précaution, les « prenez soin de mon fils s'il m'arrive quelque chose » d'un père de famille éploré à une blonde temporairement survivante, dont on espère bien qu'elle ne fera pas qu'astiquer le carnet de notes du potentiel orphelin, qui ne panique d'ailleurs pas trop, vu qu'il est bien élevé... mais le tout torturé, trituré, bancal, et surtout s'achevant dans un jouissif « on n'a jamais l'air aussi con qu'en se persuadant à sa propre malédiction, tout en essayant de prendre les choses en mains » que The Mist vaut définitivement le détour.
jeudi 24 juin 2010
Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.
Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.
Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !
samedi 19 juin 2010
jeudi 10 juin 2010
Aux Feuillantines
Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants.Notre mère disait: jouez, mais je défends
Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles.
Abel était l'aîné, j'étais le plus petit.
Nous mangions notre pain de si bon appétit,
Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.
Nous montions pour jouer au grenier du couvent.
Et là, tout en jouant, nous regardions souvent
Sur le haut d'une armoire un livre inaccessible.
Nous grimpâmes un jour jusqu'à ce livre noir ;
Je ne sais pas comment nous fimes pour l'avoir,
Mais je me souviens bien que c'était une Bible.
Ce vieux livre sentait une odeur d'encensoir.
Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir.
Des estampes partout ! quel bonheur ! quel délire!
Nous l'ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux,
Et dès le premier mot il nous parut si doux
Qu'oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire.
Nous lûmes tous les trois ainsi, tout le matin,
Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain,
Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes.
Tels des enfants, s'ils ont pris un oiseau des cieux,
S'appellent en riant et s'étonnent, joyeux,
De sentir dans leur main la douceur de ses plumes.
mercredi 2 juin 2010
Epinglée par Le Canard enchaîné, la secrétaire d'Etat à la Ville reconnaît que certaines chambres sont utilisées «de temps en temps» par des membres de sa famille, alors qu'elle-même n'y habite pas.
Après Christian Estrosi il y a tout juste deux semaines, c'est au tour de Fadela Amara de se retrouver dans le viseur du Canard enchainé, daté de mercredi. Comme le ministre de l'Industrie, la secrétaire d'Etat à la Ville est pointée du doigt par l'hebdomadaire satirique pour héberger occasionnellement des proches dans son appartement de fonction situé place Fontenoy, dans le VIIème arrondissement de Paris. Un logement de 120 m² qu'elle n'habite pas elle-mêmedimanche 7 mars 2010
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