dimanche 11 juillet 2010
Evidemment, il y a les poncifs du genre : les bêtes, araignées métalliques et préhistoricomophiques à la Starship Troopers qui sont le fait d'un complexe militaro-scientifico-industriel pas très au fait du principe de précaution, les « prenez soin de mon fils s'il m'arrive quelque chose » d'un père de famille éploré à une blonde temporairement survivante, dont on espère bien qu'elle ne fera pas qu'astiquer le carnet de notes du potentiel orphelin, qui ne panique d'ailleurs pas trop, vu qu'il est bien élevé... mais le tout torturé, trituré, bancal, et surtout s'achevant dans un jouissif « on n'a jamais l'air aussi con qu'en se persuadant à sa propre malédiction, tout en essayant de prendre les choses en mains » que The Mist vaut définitivement le détour.
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